Au départ du hameau de Mauroul, le parcours permet de découvrir les ruelles de Mauroul, son lavoir, quatre cascades et une source d'eau ferrugineuse. Sur le parcours, on trouve des informations botaniques sur la flore locale.
Prévoir de bonnes chaussures de marche et une condition physique Normale pour ce circuit. ( Présence de marches, passerelles, montées et descentes). Au départ du parking à l'entrée du village, descendre vers la confluence des ruisseaux de la Tourré et du Fontfrège qui forment le ruisseau de Mauroul. Dans la descente, avant les premières marches, sur la droite, un belvédère permet de voir la Cascade du Roy. Pour découvrir la source ferrugineuse, traverser la passerelle, puis revenir sur ses pas. Il est conseillé de faire également un aller retour jusqu’à la « Cascade du Roy » et la superbe marmite de roche, dite « marmite du sanglier», d'une douzaine de mètres de haut et 6/7 m de diamètre. Ses parois humides sont recouvertes d'une végétation luxuriante. Revenir à la confluence et longer le ruisseau pour arriver à la cascade du Castan Rousset, haute de 10 m. A son sommet, un béal captait l'eau et alimentait les jardins des Camps Bous Bas. Franchir la passerelle du héron et monter jusqu’à la « Cascade du Gouffre du rampan». Continuer jusqu'à la passerelle « de la loutre » (béal visible également) pour rejoindre la Cascade du Dragon de I’Espinouse. Sur le sentier, deviner où se cache le dragon pétrifié, devenu le gardien du village... Poursuivre jusqu’au Lavoir de la Fontaine à l'entrée du hameau de Mauroul. Parcourir les ruelles du hameau où se cachent une bonne table (l’Auberge de Mauroul), des façades fleuries, une église restaurée, un jardin d'enfants, un boulodrome...
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Les gorges d’Héric Départ du village de Mons-La-Trivalle, le site est bien fléché et un parking gratuit après 17h où se garer puis continuer à pieds ensuite, le long des cascades et piscines naturelles qui descendent doucement ces gorges. Paysage luxuriant, peuplé d’oiseaux, de mouflons corses qui furent introduits à partir de 1956, année de naissance de Meichelus. Aujourd'hui cette population est la plus importante de France métropolitaine. Cet espace sauvage au coeur du Parc Naturel Régional du Haut Languedoc est également peuplé de sangliers, chevreuils, renards, lièvres, écureuils, ainsi que de truites dans les ruisseaux, sans oublier les oiseaux (plus de 247 espèces). L'amateur de rapaces pourra, s'il est patient, apercevoir un couple d'aigles royaux ou quelques vautours En continuant vers les gorges d'Héric, le chêne vert ainsi que l'arbousier se dévoile. Le caractère montagnard se renforçe, les forêts de hêtres, les genêts, les fougères ainsi que les bruyères arborescentes apparaîssent jusqu'au plateau où les résineux s’ajoutent au tableau. Les variations d’altitude et de température expliquent les rapides changements dans la végétation. Le Châtaignier, « l’arbre de vie » de cette région qui nourrissait autrefois les hommes et le bétail, fut le pilier d’une économie vivrière. Aujourd’hui, si quelques castanéiculteurs perpétuent son exploitation, l’espèce, livrée à elle-même, redevient sauvage. Lors de promenades, on peut rencontrer un sécadou. C'est un séchoir à châtaignes, en pierre et sur deux niveaux. Le principe était de faire, au premier niveau, un feu d'une épaisse fumée pendant plusieurs semaines, les châtaignes au dessus étaient alors enfumées. Ainsi déshydratées, elles pouvaient être conservées plus facilement d'une année sur l'autre.
Info pratique : Au pied des Gorges d'Heric, à Mons-la-Trivalle, il y a un parking payant le week-end de Pâques et du 15 avril au 15 septembre : 3,50€ voiture - 1,50€ moto - 6€ camping-car (stationnement autorisé pendant 3 jours consécutifs 6€/24h). Sur place, le Snack Loulette accueille les randonneurs. Il y a également dans le parking des tables de pique-nique, des toilettes, des points d'eau... ainsi que des sandwichs et boissons à Héric.
J’ai toujours rêvé de vivre au pays des enchantements
Aujourd’hui, une clef vient de nous être livrée Une clef d'accès dans un pays parfumé, de la rose figuier Au thym églantier, du cyprès d’acacias. Au laurier rose et blanc C’est en nous laissant guider jusqu’ici Tenant notre boussole trans-lunaire Près du coeur Que le chant de la bergeronnette Nous a transfigurés. Des espaces conventionnels aux prairie elfiques Nous avons évité l’herbe coupante des champs fraîchement coupés Nous nous sommes passés d’une sieste méritée, pour pouvoir suivre le cours du Jaur, nous y baigner Nous avons gardé le mystère de l’Orb Gagné en rêve dès que nous nous y sommes endormis Amenés sautillant sur la voie verte, De St Pons ou d’Olargue nous n’avons fait que danser En glissant une jambe après l’autre, nous nous sommes frayés ce chemin Depuis le gravier rose des anciennes routes de fer A travers les châteaux des gardes barrières Nous avons su sous le soleil ardent et dévisagé le ciel Sans jamais nous retourner en arrière. Depuis le chant du coucou éternel reste notre guide Dès l’or, nous prendrons le temps de réinventer Ces nouveaux rythmes secrets. Qui donnent grâce aux rencontres d’ici et de là Justes et joyeux est devenu notre espoir C’est au vestiaire que nous laissons nos craintes Maintenant pleinement heureux Elfes, fées et autres airs Peuvent nous accompagner sous ce ciel étoilé. Le nombre 11 est un nombre maître en numérologie, les numéros 11 et doubles 11 ont joué un rôle essentiel jusqu’à maintenant dans notre vie. Le 11 fait partie des nombres particuliers en ce qui concerne les connexions, en particulier pour les âmes sœurs que nous sommes. Le nombre 11 11 signifie la synchronicité collective. Ils apparaissent lorsque nous vivons une expérience qui change votre vie. Il valide souvent la synchronicité avec notre âme soeur. Il met du sens a notre connexion d’âme et éclaire sur ce qui est sur le point de se produire ou va se produire dans le futur. Pourquoi le 11 est-il aux avant-poste ?Lorsqu’apparaît le numéro 11, son dividende ou son multiple tel que 11:11 sur l’horloge ou le 22 ces temps-ci.... Si nous cherchons à nous rappeler. Parfois, les gens font un souhait avec leur apparition, parfois nous faisons cela. Cela peut venir expliquer une des raisons de la synchronicité. La « synchronicité » Ce mot utilisé par le psychothérapeute suisse Carl Jung et le cas de la femme au scarabée... Jung a vécu ce qu’il a appelé les « coïncidences significatives ». Lorsque deux signes ou plus se produisent au hasard, cela amène à chercher un sens mais pas forcément une cause. Par exemple, la synchronicité arrive quand on a rêvé d’un symbole de cœur ou autre et que le matin, nous nous retrouvons avec un cœur 💖 sous nos deux pieds. La coïncidence significative devient l’apparition du cœur dans le rêve puis ce qu’on pourrait appeler la lettre. La même chose est vraie pour les nombres, Nous pouvons, avec notre âme soeur, voir les mêmes numéros se répéter plusieurs fois. Il en est de même pour les évènements ou les rencontres que nous pouvons faire au fil de notre vie et qui déroulent, en CinémaScope sur le fil des synchronicités.... Le 11 et son sens. Le numéro 11 symbolise notre unité et s’avère être un éveil pour la conscience. il est aussi un portail vers d’autres dimensions et nous « upgrade ». Telle la porte d’accès à une forme de conscience dont nous pourrions convenir qu’elle est supérieure, meilleure. Le 11 11 Pourrait signifier lumière et obscurité Nos relations d’âme soeur sont tels des miroirs. Âmes sœurs réfléchissant ou projetant la lumière et l’obscurité. Nos relations d’âmes soeurs sont les catalyseurs de notre croissance et de notre unité. Une sorte de pont entre deux mondes Le nombre 11 11 symbolise ce pont. La réalité intérieure et extérieure. La connexion entre nos âmes sœurs et une certaine idée de polarité. Nous ne sommes pas les seuls à assister à de nombreuses synchronicités, tout le monde peut le vérifier chaque jour ou presque mais avec le nombre 11, si nous y prêtons attention, il est là et nous rappelle les énergies subtiles en jeu... Pas seulement les nôtres, celles d’Anouk et Michel. En « je »...Pensons le « je » comme l’unité et donc le 1 Nous nous sommes rencontrés et remercions l’univers chaque jours de vivre ce que nous vivons avec notre âme soeur. Notre synchronicité du 11 11 est apparue. Alors que nous étions sur le point de nous rencontrer. Cela est venu signer également que vous étions déjà dans une relation puissante.
Le numéro 11 est cet indicateur que vous nous sommes connectés d’âme à âme pour une raison. Cette raison a à voir avec la somme de travail que nous destine le plan spirituel et émotionnel. Nous sommes connectés avec l’univers et le remercions chaque jour qui passe... Nos âme sœurs, 11 11 baromètre de l’univers, réalise par moment des chorégraphies de notre union. Nous sommes conscients de nos synchronicités La plupart du temps et ce, depuis que nous nous sommes rencontrés le premier jour, dans une grande forêt, j’avais 23 ans, Anouk en avait 17. Peut-être qu’aujourd’hui plus que jamais, nous partageons cela à travers cette étonnante synchronicité et cette compréhension très particulière du « pourquoi le chiffre 11 11 apparaît... » Si nous ignorons parfois sa signification, celle-ci est suffisamment importante dans notre vie et joue un rôle. De la même manière, nous savons que les coïncidences ont un sens et que les synchronicités ont souvent lieu pour une raison. Ce n’est pas seulement les horloges qui affichent le numéro 11:11, vous pouvez voir ce nombre là où nous l’attendons le moins. Un immense merci à l’univers qui guide nos pas en ces moments particuliers et continue de prendre soin de nous. Anouk et Michel Ne pas se tromper, se laisser aller à ses ressentir
Prendre la bonne décision, faire des calculs précis, évaluer concrètement les risques Avoir plusieurs avis, ne pas se laisser influencer Si le coup de coeur est là, quels travaux réaliser tout sécuriser ? Quels moyens sont mis à notre disposition ? Pour que notre rêve devienne réalité Tissons un premier fil, maître de notre étoffe à venir. Première visite d’une maison sur les plateaux près de la grotte préhistorique de Camprafaud.22/6/2020 Est-ce le présage attendu ? Allons-nous nous sentir comme lors d’une rencontre amoureuse Dans un lien indéfectible avec le lieu ? Il n’en sera rien Trop humide, trop éloigné, trop cher, trop pas d’internet ! Nos recherches continuent On verra demain, lors de la prochaine visite prévue à 16H30 En attendant, visitons l’un des plus beaux villages de France : Olargues. Alors j’ai rêvé de tes lèvres sous les fleurs d’acaciaDécouverte de la maison de Saint Etienne d’Albagnan en passant par la voie verte
Rencontre avec deux femmes cyclistes qui arrivaient de loin La Salvetat est au coeur de la montagne du Haut Languedoc Près du lac de La Raviège Anouk a discuté avec l’adjoint au maire de Prémian Nous apprenons que notre projet est très réaliste. Pogo se prend pour un loup, l’atavisme sans doute. Il nous aura fallu trois jours pour parcourir 850 klm avec notre caravane, en partant de Vernon dans l’après-midi afin de rejoindre Prémian en début de soirée; Le troisième jour en fin d’après-midi., enfin arrivés. Le chant des cigales dans ce pays merveilleux de moyenne montagne nous accueille, nous sommes dans le Haut-Languedoc. Même le chien Pogo a cru bon de pousser son cri de canidus lupus. Quel bonheur d’être là. Notre pays recèle tant de merveilles dont ce département. Attention, il faut pas trop le dire car c’est un pays étonnant et magique. Plus étonnant qu’il n’y paraît au premier abord. Souvent les gens sont rebutés par les façades des maisons qui peuvent apparaître austères. Ces maisons qui se succèdent en rang d’oignons au bord de la route. Et puis il y a la voie verte qui traverse tout ce coin de France, véritable poumon sillonnant ce territoire pour se jeter dans la mer.
A propos de maison, nous devons en visiter une justement... Reprise de notre itinérance sous l’arc en ciel
Un chemin tout tracé, nous suivons la lumière qui traverse les nuages Il y avait un avant, nous sommes à l’instant d’après. Totalement éberlués Quand le matin, les oiseaux tissent Un invisible réseau L’eau des deux lacs est un miroir pour les feuilles des arbres. Les arbres offre un foulard à la terre
* le fil se dénoue peu à peu Oubli frileux Attiser le feu de l’œil * Narine contre narine Le baiser des ivres D’amour, ton sourire * Foulées spatiales Abyssale de toi Recommencer neuve * Dans l’étreinte des joncs J’ai senti la part du soleil Et des plumes d’histoire . La folle disparition des nuits sans étoiles. Voici la dernière toile de Meichelus.
65/50 cm sur papier arche. Réalisée avec de la mine noire, de l’encre de chine, du pastel et du stylo bille. Cette création est partit d’une immersion du coté de la synchronicité positive, illustré par un Aiku écrit par Anouk, ma chérie d’amour. Haiku que voici avant de le découvrir et sur la toile : Les couleurs parlent Du trait jaillit la beauté Jour après jour...voir. Lumière chaude du matin
Près de ton corps nu Mes caresses se sont tues Enveloppé d’un tout petit chagrin Sur mon tee-shirt safran Des nuées minuscules m’ont confondu avec la renoncule En sortant du monde, j’ai pris mon temps pendule Vécu sans renoncement. Le ciel azuré fait des traits d’hirondelles Tu m’as donné ton coeur et je t’ai trouvée La terre et le ciel ont mis en commun Une douceur très inhabituelle. Avec ces quelques mots s’envole ce tout petit chagrin Vent des rêves de mon âme près de la tienne Je te tiens par la main sur ce doux chemin Que nous pourrons emprunter demain. Les mots cristallins de l’appel du jour montent Déjà s’écrit la vie Accompagnant ma prière vive, je t’aime Ces étourneaux sont contents des couleurs vives. Déjà, rien n’est pareil....à la veille Deux abeilles ont le même langage, se parlent-elles ? Gravées dans l’intemporel immortel Elles semblent déterminées à construire leur nid pollen. Piou la chatte m’a rejoint sur le front de mers Encore un peu de temps, d’accalmie avant que la vie Trace des zigzags en spirales dans l’espace, avant que nous mettions au défi le bruit. Avant que ne se crée la poésie Une tourterelle sur le balcon est surprise par notre présence Elle se posera dans un endroit plus calme, fait pour elle Brève lumière du monde sur ton dos ondes J’ai vu les galions de notre amour Chavirant dans la lumière du monde, nous aussi Nous recherchons Cet endroit juste, déjà gravé plié au fond de nous L’inscrire là, tout près de toi, encore plus près Cette douceur qui est la tienne joue déjà ce requiem Où les chromatiques espaces, s’accordent avec le temps qui passe. J’ai vu sur ton dos des griffes de pétales apparaître J’ai caressé ton dos avec des fleurs de pissenlit Les parachutes aux trente-six graines se sont envolés Sur les ailes d’un dragon je t’ai suivie J’ai moi aussi bien cru te perdre Si cela arrivait, il m’emporterait à l’instant même Pourrons-nous finir ce voyage éternel ? Avons-nous déjà usé la toile vermeille ? la journée commence et tu dors.... Mon chien est calme, il me regarde t’écrire le mot ‘faim’ Nous nous sommes tout donné, la joie, l’amour, la tristesse Nos rêves, nos secrets, nos faiblesses Il n’y a rien à reprendre, ni écarter Un chant étrange monte des arbres Est-ce l’Ararinha Azul ? Sous le ciel bleu nous sommes attendus Le voyage continue, poétiquement pas politiquement Il n’est pas prévu de fin car les fils d’or invisibles traversent l’aile d’une libellule Nous conduisant toujours sans nous séparer, à travers les apparences Main dans la main, nos cœurs tressés Enlacés et joyeux sans plus jamais nous consumer Une fleur de nénuphar Émerge à l’extérieur d’un verre d’eau Rencontre avec les 5 archanges Une toile commencée le 5/3/2020 et terminée le 10/3/2020, soit deux mois et cinq jours Réalisée sur papier cartonné au crayon mine noir gras et maigre, avec de la gomme d’acacia, du pastel et de l ‘encre de chine, de l’acrylique et des crayons bille. Comme à mon habitude, je laisse courir le crayon sur la toile afin qu’apparaissent les formes ou qu’elle me soient données, à l’occasion des rêves que je fais la nuit ou d’état volontaire de demi sommeil le matin. J’ai su qu’il s’agissait des 5 archanges seulement en arrivant à la fin de la toile et suite à un début de rituel. Comme c’est souvent le cas, mes peintures préfigurent un état d’être à un moment donné, parfois un projet avec des objectifs mais, elles sont toujours l’esquisse d’évènements qui ne sont pas encore vécus ou qui s’imposent à moi. C’est dans le réel, le quotidien, ce qui arrive dans ma vie que je peux retrouver, avec la trame symbolique de mes toiles, un message, une voix qui donne le diapason à mon vécu. Pour celle-ci, beaucoup d’instabilités ont accompagné la période de confinement ainsi que de durs combats au sein de la famille. A coté de notre passion amoureuse, toujours plus intense, un cheminement aux multiple rebondissement s’est fait jour, a pu être trouvé, renforçant la nécessité que seule, une issu positive n’avait d’intérêt, ainsi que la patience et l’espoir dans une douce paix. C’est alors qu’une amie d’Anouk nous envoie ce rituel des 5 archanges. Nous allions être accompagnés. Le rituel avec les archanges "Nous pouvons parvenir, en méditant, à ressentir une connection avec l'Univers. La venue des Archanges nous préparera à une nouvelle paix. Paix avec nous-mêmes, paix avec les autres. Il s'agit d'inviter chez soi des Archanges, ensuite, de les renvoyer à des amis, de la famille Si l’on veut, ou à l’univers si il n’y a personne à qui ré-adresser nos archanges. Même si cela paraît « étonnant", ça fonctionne, au moins pour nous ! A pratiquer dans un cadre non hostile bien entendu, en confiance, et sans idées préconçues. Nous nous sommes dit « pourquoi pas ! » en la matière, nous n’en étions pas à notre première expérience spirituelle... Voici le texte qui a accompagné leur venue. Je vous copie le texte qui circule à leurs sujet : ACCUEILLIR DES ARCHANGES Merci d'avoir répondu positivement à ce grand bonheur de recevoir cinq Archanges : l'Archange Michaël, l'Archange Gabriel, l'Archange Raphaël, l'Archange Ariel, l'Archange Metatron. (Certaines personnes choisissent d'autres Archanges). Ils partiront de chez moi (votre prénom) le X/X/20XX à 21h30. Ils arriveront chez vous 5 jours plus tard, le X/X/20XX à 21h30 et repartiront le X/X/20XX à 21h30, 5 jours après (ils voyagent durant 5 jours entre chaque maison). Vous les accueillerez donc 5 jours, après avoir préparé un petit autel avec :
N’oubliez pas d’allumer la bougie à leur arrivée. Au moment précis de leur arrivée à 21h30, leur lire cette prière en ouvrant la porte ou la fenêtre selon l’endroit où vous habitez ou selon votre ressenti : « Entrez et soyez les bienvenus, chers Archanges Michaël, Raphaël, Gabriel, Ariel, et Métatron, envoyés par (le nom de votre ami(e)). Je vous remercie de purifier et d'apaiser ce lieu, ainsi que les Etres qui y vivent, et ceux qui me rendent visite. Je vous remercie d'y créer la Joie, l'Harmonie, l'Amour et la Sérénité dans une réalisation d'Abondance, maintenant dans ma vie et dans mon entourage. Je vous remercie d'exaucer mes vœux les plus chers. » Dès ce moment, les Archanges œuvrent pendant 5 jours chez vous.
Ils resteront chez vous 5 jours et partirons le X/X/20XX >à 21h30. Après les avoir remerciés et avoir exprimer toute votre reconnaissance, vous les enverrez chez ces 3 personnes avec ce même message. (Rappel : il y a 5 jours de voyages entre chaque maison. Ils arriveront chez eux 5 jours plus tard soit le X/X/20XX à 21h30). Au moment du départ des Archanges: Leur ouvrir la porte ou la fenêtre, les remercier de leur venue, leur donner le nom et celui de la ville d’habitation des personnes chez qui ils seront accueillis. Souhaitez-leur bon voyage. Après leur départ le X/X/20XX à 21h30 : • Brûlez les vœux et en récolter les cendres afin de libérer les énergies en vue de leur réalisation. Les récupérer et les jeter dans un cours d'eau non stagnante, sinon dans l'évier si on ne peut pas faire autrement, avec l'intention qu'elles soient recyclées par l'eau et la terre, en exprimant votre gratitude. • Mangez la pomme après leur départ elle sera remplie de bonnes choses. • Déposez la fleur dehors sur la terre pour son recyclage naturel. Envoyez ces pages (corrigées : nom et dates) aux personnes qui vont les accueillir. Ce rituel est là pour vous apporter du bonheur, à vous et à vos proches. Soyez dans l’accueil, disponibles, sans vous crispez par peur de faire quelque chose de travers. Évitez toute superstition, soyez dans la douceur de la confiance. Voici le tableau : « rencontre avec les cinq archanges » sur la piste du merveilleuxCygne A l’ombre des arbres en fleurs Bougeant à peine l’eau Sur les berges, un cygne cherche son âme. Voici le lien qui mène vers une autre fenêtre, pour ce confinement obligatoire soit une autre ouverture. Poésie d’Anouk sur une vidéo de Michel https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10158160614354035&id=629174034 La libellule qui se prenait pour une pénicheLa libellule du confin
Au-dessus du fleuve Cette demoiselle vol en ligne droite Elle se prends pour une péniche Mais son ombre fait des zigzags. Dernière toile de Meichelus. Nous avons écrit ensemble ce poème avec Anouk Journo. Poème qui borde la toile de gauche et de droite. Travail au pastel, crayons mine noire et encre de chine sur papier technique 80/63 cm.
Cette toile à été inspiré par le thème du « Heyoka » ou «envers » les fameux clowns de la tradition amérindienne autant que l’amour passionné qui nous habite. Le H de Jean-Moulin
Me connais-tu, moi Jean-Moulin le libérateur ? Sur ton front j’existe en corps De toute ta jeunesse tu ne connais pas le sort Il te faut tant te délivrer, délivrer ce corps Longtemps encore après que le vent fort T’ait mis au monde, soufflant du nord Quand tu diras ne pas vouloir l’or Serein tu verras que ton esprit dort Je te jetterai sous ton bonnet un sort Espérant te laver alors, bien après ma mort De ton imposture record Qu’enfin tu te découvres un rêve « en accord » Le monde s’ouvrira, et sans efforts Glissant jusqu’au bord Tel l’oiseau prenant son Essor Tu sortiras de l’ombre Vaincra Pythagore Aux frontières de l’impossible, trouveras-tu ton trésor ? Il fait - 1, les jours enfin, rallongent
J’aimerais poursuivre mes songes Sur un fil d’argent Le soleil traverse les couleurs du temps L’ambre de l’horizon Reconnaît la sensation Qu’a la surface de ta peau se frôlent Hummm, les doigts des nuages Un lent refrain rock and roll. Dissipés là où les brumes se bousculent. Les étoiles s’amusent et remercient le soleil
Qui repart, comme éternel Dans son lent rituel Autour de nous, Le miel d’une nouvelle année Se savoure saupoudré généreusement Ou avec subtilité, Pour laisser éclore tous les changements Que nous pourrions rêver ... L’oiseau bleu En bordant les vignes de ta main Tu as mis des étoiles sur nos ombres Un 25 décembre de printemps nos âmes fécondes confondues Ont sondé la terre d’une même onde Préparant l’hiver, à cette douce ronde Nous est paru l’oiseau bleu. Un coeur a bien cru Qu’un monde sans chansons Borderait nos yeux Telle la douceur de cet air, il n’en fut pas ainsi Enchantement cristallin de l’âme, De nos deux mains Soudain blanchies d’un même refrain firent se réunir ciel et terre retrouvailles de notre belle étreinte. Enfin un peu de soleil Depuis que nous sommes redescendus dans le sud La météo normande nous a suivis Dans notre nid douillet, près de Buzignargues Nous n’avons pas attendu sa lumière Mais quand au matin elle nous fait signe Nous nous éjectons tel le grillon, en dehors du foyer Et partons courir le long de la Benovie Entre vigneS et moulins Nous imprégner de la douceur retrouvée. Un vers de terre, deux escargots Trois souris et quatre crapauds Font la fête dans une flaque d’eau Où se reflète un arbrisseau Aux fines branches parsemées de cristaux… Un éclat de miel perce alors les doux nuages Et le soleil sourit Deux jours après Montluçon, un terrible saut dans le néant a fissuré le monde De sombres nuages ont recouvert le ciel, les citernes grinçaient deux jours plus tard Des oiseaux noirs poussaient leurs cris de chat et des chats poussaient des gémissements de renard Plus rien n’était pareil, la peur avait envahi le monde au point de nous laisser exsangues Étrangers à nous-mêmes, seuls avec notre panique Un unique acte magique pouvait nous aider à réparer cette fissure béante Mais nous étions dans une voie sans issue Cette angoissante agonie de nos deux êtres flottants dans l’univers Sans autre point de repère que le courant alternatif de nos craintes Cette faille que nous avions créée devait être réparée Alors, pour s’extraire de ce rêve envoûtant, nous nous sommes aventurés sous le pont du monde Celui qui mène de l’autre coté, là d’où les poètes partent Là ou tout commence, et d’où il nous fallait repasser. Recommencer le trajet, chercher et comprendre, se rappeler Enfin peut-être, soigner nos blessures et renaître, entamer un beau travail. A la hauteur de notre passion sans pareille, au-delà des apparences La sève circulant dans nos cœurs exaltés, devait re-circuler et colmater les bordures. Évaluer l’incompréhensible fissure. Nous avons suivi le chemin et c’est ainsi, en rêvant que, de nouveau cela nous est apparu Plus limpide et plus vrai que de nature. Le travail pouvait commencer Nous avons accepté l’aide de nos alliés, Sans les reconnaître, cela allait nous arriver. C’est à partir de là, en toute conscience, que les couleurs de la vie généreusement, vibrèrent, récompensant, inondant l’univers Autour de nous, magnifique, recréant volupté et joie, un echo en choeur. Reconnaissant sa douceur, définitivement clairvoyants, nous avons palpé nos retrouvailles. Paix, douceur et chant de cet oiseau intérieur, Dans sa secrète alcôve qu’il a choisie, au pied du Pic de Saint loup. Il a permis déjà que se réunissent L’ensemble de notre tribu, celle des premiers âges C’est là, qu’ensemble Nous portons de nouveau la clef des rêves, des nuits de décembre Ainsi perdurent le temps des saisons, la beauté, l’harmonie et la paix Mais voulez-vous savoir comment cela s’est passé ?... Rencontre avec les alliés Dans le village de Jacou, se trouve un restaurant pizzeria tenu par deux personnes à l’apparence très humaine Une serveuse et son patron. La serveuse, telle un garçon, rentre sa chemise à carreaux dans son pantalon Lui, le visage lisse et brillant, est très accueillant. Les deux se montrent d’une « grande proximité » dès l’arrivée. Ils sont affables et si proches que cela en est presque gênant. Nous choisissons une petite table, la seule installée de travers. Avec l’espace important de la salle de restaurant, les autres tables sont bien réparties Pas le choix, nous décidons de tourner la table, 10 degrés à droite, pour être à l’aise On se retrouve quant même trop près des clients d’à coté Lorsque je redresse la table, La serveuse nous rejoint, à plusieurs reprises, elle dit que la table est ins-table C’est ainsi dans son restaurant Il faut laisser la table telle quelle, afin de faciliter le passage de la circulation tout autour Puis elle convient ensuite que tout va bien, que ce n’est plus un problème Nous choisirons le menu, la serveuse reviendra nous prévenant Ensuite « Il n’est plus disponible ! »... elle explique qu’elle aurait dû nous avertir avant que nous fassions ce choix. Deux pizzas recouvertes d’une épaisse couche de sauce tomate rouge sang nous sont servies Pizza à la pâte molle et brûlée et une entrée pour deux. En dessert, une tarte au citron « revisitée » C’est au moment où la serveuse, dépose les plats sur notre toute petite table Que sa vie défile, de ses lunettes qui lui coûtent si cher, Elle nous dit qu’elles lui sont indispensables pour « voir » Pour voir qui, pour voir quoi ?... Elle ne comprend pas pourquoi sa mutuelle, n’a pu la joindre Elle continuera d’appeler, de payer mais cela à l’air impossible Elle est face à un mur Nous étions aussi face à un mur... Ainsi, un rêve plus loin, à la faveur de ce que nous montrèrent les « alliés », apparaîtra limpide le sens si particulier que cette rencontre ordinaire peut revêtir de merveilleux. En chercher le sens, sur les arêtes du pouvoir, de l’énergie fabuleuse que révèle l’art de rêver, redonne de la liberté et libère l’esprit du chercheur. C’est ce même esprit qui nous a fait dire aujourd’hui :
Je te dois une vie Tu as eu la force de venir me chercher Bravant la peur et le feu du volcan Sans perdre un instant Tu m’as sauvé Tu as eu foi en notre amour Avec le feu du dedans Et ce qu’il y a autour Tu as eu foi en nous pour toujours. Si nous sommes épris l’un de l’autre ainsi Nos regards aventureux et émerveillés seront chargés De cet étonnant reflet sur lequel on peut lire Les brisures que la lave trace sur nos peaux La lumineuse énergie que provoque la « renaissance » Donnant vie aux mystères infinis des êtres libres quand « voir » s’active Que ce soit après un rêve ou un cauchemar Nous nous sentons transformés, insoumis au réel submersible Détenteurs d’une réalité magique Nous lui appartenons et en sommes ses créateurs tout à la fois Nous sommes responsables de ce même amour Qui me fait te dire : « Cette fois, c’est moi ma chérie qui te dois une vie. » Tel l’arbre à pain du Bounty, planté en Prou sur son navire
Je le vois appeler sans cesse l’eau de toute part Qu’elle vienne du ciel où de la terre, il peut s’en nourrir Etendre ses pieds solides et ses branches graciles Pour en harponner les molécules Captant dans ses racines puis son xylème Les fruits de sa sève, partout dans l’aubier, Issu du duramène aujourd’hui assèché Malgré l’Imperméable rigidité que lui donne la lignine. Toutes les plantes vasculaires comme lui ont leur histoire, leur réseaux Que les révoltés du Bounty, de Tahiti à la Jamaïque N’ont pu connaître, guerriers soumis à leur objectif final Ignorants de leur époque, instruments d’un équilibre imparfait Quand les plants tant convoités Plutôt qu’aux colons allèrent aux cochons Le large océan et l’intelligence humaine n’y suffirent pas Pour empêcher le chaos d’être manifesté, Faisant dire à une vieille Tahitienne assise sur le sable « L’équilibre naturel entre les êtres vivants n’est ni bon ni mauvais Si l’homme est un loup pour l’homme Pour qu’il soit le fruit de la nature Il doit se montrer digne et moralement responsable. » Homme-médecine sioux de la tribu des Lakota « Je ne suis pas un ivrogne, mais je ne suis pas un saint non-plus. Un médecine-man ne devrait pas être un « saint »... Il devrait descendre aussi bas qu’un pou et s’élever aussi haut que l’aigle... Vous devez être dieu et diable, tous les deux. Être un bon médecine-man veut dire être en plein milieu de la tourmente, et non s’en protéger. Ça veut dire expérimenter la vie dans toutes ses phases. Ça veut dire faire le fou de temps à autre. Cela aussi est sacré. » Chevreuil boiteux Extrait de la conférence donné par Pablo NERUDA à Madrid, trois ans avant la parution du manifeste du surréalisme« Outre le sens grammatical du langage, il y en a un autre, magique, qui est le seul qui nous intéresse.... Le poète crée hors du monde qui existe celui qui devrait exister.... La valeur du langage de la poésie vient directement de la distance d’avec le lange parlé... Le langage se transforme en un cérémonial de conjuration et se présente dans sa lumineuse nudité première, loin de tout habit conventionnel figé à priori... La poésie n’est rien d’autre que le dernier horizon, qui est à son tour l’arête où les extrêmes se rejoignent, où il y a ni contradiction ni doute. Parvenant à cette frontière finale, l’enchaînement habituel des phénomènes brise sa logique, et de l’autre côté, là où commencent les terres du poète, la chaîne se ressoude en une logique nouvelle. Le poète vous tend la main afin de vous conduire au-delà du dernier horizon, plus haut que la point de la pyramide, dans ce champ qui s’étend au-delà de ce qui est vrai ou faux, au-delà de la vie et de la mort, au-delà de l’espace et du temps, au-delà de la raison et de la fantaisie, au-delà de l’esprit et de la matière. Il y a dans sa gorge un inextinguible brasier ». Des cabinets de curiosité en pagaille aux lutins bleus en bulles : les vitrines de Honfleur17/11/2019 Sortis des rêves de l’enfance en flanelles multicolores
Les personnages sont là, juste derrière la glace Ils nous tendent les bras et éclairent notre âme Tandis que dehors, le vent froid assainit nos sens Cherchent-ils à capturer les doutes qui nous effraient ? Ou nous ramener à la raison En illuminant d’étonnement nos yeux innocents ? Nous nous laisserons aller à cette rêverie Sans dépenser le moindre penny Face à ces devantures aux allures « so British » |
Auteurs : Anouk Journo, écrivain, traductrice, formatrice, et Michel Foucher dessinateur photographe accompagnés de Piou le chat et Pogo le chien Beagle.Un espace pour échanger nos découvertes, au fil d’un voyage itinérant en caravane, d'abord en France, et ensuite, où le vent nous mènera... Archives
Août 2021
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