A l’entrée du village. Un goût d’éternel nous surprend au détour de notre promenade, comment de pas être admiratifs ? C’est majestueux !
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Sortir sous le vent puissant
S’effacer en s’envolant Glisser avec les ombres Éparpiller les couleurs sombres Sur les murs anciens De la poésie renouvelée sans fin Un secret dévoilé Partagé re-gardé J’aime bien Ton parfum Tourbillonnant sur les crêtes de la curiosité
Rien ne descend ni ne monte Tout se confond sur la sente Une vérité semble née. L’œil perçu n’est pas « l’emmental » « Voir » sait-il ce qu’il voit ?... Lieu historiques de la croisade contre les Albigeois.... Rocher qui domine la plaine de l’Aude et le Minervois, il portait jusqu’en 1210 un castrum, un village fortifié avec peut-être un donjon. Ce site comptait parmi les « chateaux » les plus solides de la contrée... En représailles des torts faits par les hommes de ce nid de résistance méridional, qui plus est, protecteurs des Cathares, dès l’été 1209, la place forte est détruite. Archéologie du midi médiéval : Le castrum déserté de Ventajou et son terroir (Félines-Minervois, Hérault) : première approche (Ve-XIVe s.). des travaux et une histoire à visiter via le fichier pdf ci-dessous
Toile sur papier cartonnée 60/80
J’utilise les crayons mine noire gars et maigre, les pastels sec et l’encre de chine. Projet de faire émerger le lien éclatant qui rapproche le minervois (félines-minervois) du Yukon ( Whitehorse canada ) l’un faisant naître des arc-en-ciel, l’autre délivrant ses aurores boréales Arrivée en météo non découverte
Un temps d’automne aux portes du printemps De mémoire d’homme en somme Le temps se dégraderait depuis longtemps Nous nous aimons cette douce gomme D’une épopée qui n’a pas encore relui Nous sommes arrivé avec la dernière pluie Bénédiction délicieuse Qui nous accompagne rieuse. Météo non découverte Notre présence est ouverte Couverture d’un éclat joyeux Nous en sommes très heureux l’oiseau bleu Sortant du vortex polaire Tourbillonnant dans l’air Et ses effets délétères Un chant éphémère A un jet de dè On peut humer Ce qui s’inscrit sur le A Une simple trace de doigt Du géant Pipo Qui regarde d’en haut Tandis qu’au dedans Se détend Un rare vestige Unique tige D’un monde nu Aux bords inconnus J’ai tenté de découvrir Qu’au-delà il y a pire Un fin sourire Un juste rire Un poil de tapir Et m’envole au pire Vers un paradis je dis ! Là où la couleur je dis ! La beauté et l’amour je dis ! La magie de la vie je dis ! Dans un rayon circulaire je dis ! Au bord de l’imaginaire je dis ! Je m’en vais je pense Par delà les apparences Suivre le vol D’un oiseau bleu "Felinas de Menerbes" 2021, bien démarrer l'année, cette toile dédiée au charmant village occitan de " Félines-Minervois" là où nous avons trouvé notre refuge et qui nous inspire tellement chaque jour. l'âme des poètes y est installée depuis toujours... Toile sur papier cartonné Canson 80/60 encre de Chine, pastel et crayon bille... Ainsi qu'une bonne dose de merveilleux ✨🎨 2021, bien démarrer l'année, cette toile dédiée au charmant village occitan de " Félines-Minervois" là où nous avons trouvé notre refuge et qui nous inspire tellement chaque jour. l'âme des poètes y est installée depuis toujours... Toile sur papier cartonné Canson 80/60 encre de Chine, pastel et crayon bille... Ainsi qu'une bonne dose de merveilleux ✨🎨 De Bacchus à la rue de la Régus Au pied de la noire montagne Les nuages content leurs âmes Leurs ombres caressent la garrigue Et les oliviers emmitouflés Affinés au fil des âges, les sillons Obéissent aux mains patientes Et les grappes bientôt se devineront Entre éclats de feu et tisons Félines s’endort sous les parfums De bois de cade ou de thym Et se réveille, de ruelle en ruelle Avec le vent du Nord ou le Marin Poésie d’Anouk Journo De Bacchus à la rue de la Régus Au pied de la noire montagne Les nuages content leurs âmes Leurs ombres caressent la garrigue Et les oliviers emmitouflés Affinés au fil des âges, les sillons Obéissent aux mains patientes Et les grappes bientôt se devineront Entre éclats de feu et tisons Félines s’endort sous les parfums De bois de cade ou de thym Et se réveille, de ruelle en ruelle Avec le vent du Nord ou le Marin Installation réussit, nous sommes arrivés dans le Minervois, au creux de l’Occitanie, enfin.10/11/2020 Finit, installation dans le Minervois réussit
Construction de notre nouveau biotopes réalisé enfin Nous voici maintenant chez nous ! Dans ce pays qui nous est si cher Dans un environnement protégé Dans le parc régional et dans notre univers Nous ne sommes plus « en co-construction » Nous y sommes assurément Car après nous y avoir guidés Les anges sont toujours là, près de nous Ils veillent sur notre route comme nous veillons sur eux Nos animaux sont heureux Nous sommes tellement chanceux. Dessin ✍️ à la mine noire et encre de chine 🇨🇳 Astuce donnée par un colibri et un papillon
Pour un décollage réussi Suivre le chant des cigales. La Candela - Minerve - Hérault
La Candela est la ruine d'une tour (XIIIe s.) située à un des angles du château vicomtal. La commune de Minerve est inscrite sur la liste des plus beaux villages de France. Le village domine de son éperon rocheux les gorges de la Cesse et du Brian. C'est aussi le lieu du premier bûcher cathare après la prise de la forteresse par Simon de Montfort en 1210. Les apparitions angéliques étaient sur notre chemin Un éclair, une sensation, un sentiment partagé Tandis que nous nous questionnons et partageons nos doutes Une réponse de l’univers pointe et règle Donnant la juste note à nos décisions... Les moulins de Don Quichotte ne sont qu’à une encablure Entre le réel et le fantasque Pas d’incompatibilités Pas de peurs dans cette manichéenne conjuguaison Pour que rêve et réalité s‘assemblent Avec une parfaite et merveilleuse harmonie. Les anges se sont manifestés de nouveau, Créant sous la demi-lune, Un passage élyséen Tels des chevaliers aux sabres de lumière Ils nous ont montré la bonne orientation C’est celle-ci que nous allons suivre Qu’en faire ?, comment penser cela ?
On vous raconte : Nous avons, comme chaque matin, Avant que ne commence notre journée, Décidé de partir courir, d’un pas léger et assuré Près de notre banc préféré, avant de nous en retourner, Nous avons trouvé l’objet de nos doutes Il avait pris forme semi-humaine Démon désespéré de la vie Vampire tueur du végétal magnifique au masque terrifiant Du doute et de la terreur Nous avons vu Comment les anges tracent notre vie Comment l’univers écrit notre destin Le « mektoub » de tout chevalier Ainsi, cherchant la douce lumière Seuls avec nous-mêmes et les bords de notre pupille Nous avons entrevu, Voire même vu, comment le messager se grave Au sein de L’esprit et de la nature. C’est en nous acheminant l’un et l’autre Tels des lutteurs guerriers Effaçant nos doutes en combattant l’amère moisissure. En détruisant l’Inototus hispidus Nous avons sauvé l’hêtre Nous avons compris ainsi ce que nous faisions de nos incertitudes Un choix vers l’équilibre A nous de ne pas en faire un terminus. En parallèle, dans le réel Heureux d’avoir trouvé peut-être notre maison, nous nous démenions, d’expertise en contre-expertise Nous assurant auprès de tous, en payant certains pour cela Voulant comprendre comment les petites bêtes des poutres Vriettes et capricornes pourraient infester Le bâti Futur de nos rêves. C’est en pleine lumière et dans le tréfonds Que se joua ce combat Armés d’une simple branche trouvée au sol Fiers et pragmatiques Que nous présidâmes à notre destinée Empêchant que la vérité vive à crédit. Pour reprendre une citation de Pierce : « Une conclusion vraie resterait vraie si nous n'avions aucune propension à l'accepter, et la fausse resterait fausse bien que nous ne puissions résister à la tendance d'y croire. » ( Charles Sanders Peirce (10 septembre 1839 - 19 avril 1914) est un sémiologue et philosophe américain. Il est reconnu comme le fondateur du courant pragmatiste avec William James et , avec Ferdinand de Saussure, un des deux pères de la sémiologie (ou sémiotique) moderne. ) Comment j’ai suivi le vol d’une libellule.
Le chien Pogo connaît l’art de la sieste Entre deux actions vitales ; Manger et sentir Il peut tout arrêter Pour une fleur, un insecte ou un bruit De ceux qui naissent à la tombée de la nuit Près de cet endroit particulier D’où il est impossible de savoir Ce qu’un être humain reconnaîtrait Au premier coup d’œil s’il savait Ce qui se cache derrière l’ombre et la lumière. Le chien Pogo est doué sans en avoir l’air Doué pour nous montrer Où sont cachées Toutes les surprises Hors des maisons juste sous la brise Ou pire encore, ce qu’on n’avait pas imaginé Avec sa truffe si bien allongée Il est un poète né, Joyeux et distrait quand du bout de notre nez Nous découvrons son curieux stratagème Suivant par mégarde la libellule même Il nous mène jusqu’à la lune Tout en croquant une prune... Ô Don Quichotte, vieux paladin,
Grang bohème, En vain la foule absurde et vile rit de toi ; Ta mort fut un martyre et ta vie un poème, Et les moulins à vent avaient tort, ô mon roi ! Va toujours, va toujours, protégé par ta foi, Monté sur ton coursier fantastique que j’aime. Glaneur sublime, va !—les Oublis de La loi Sont plus nombreux, plus grands Qu’aux temps jadis lui-même. Hurrah ! Nous te suivons, nous, Les poètes saints Aux cheveux de folie et de verveine ceints. Conduis-nous à l’assaut des Hautes fantaisies, Et bientôt, en dépit de toute Trahison, Flottera l’étendard ailé des Poésies Sur le crâne chenu de l’inepte Raison ! Paul Verlaine. ( 1844 - 1896 ) Prière à l’oiseau
Le jour naissant, posé sur ta branche Ton luminescent chant se glisse Tout près de notre oreille, Sortant du sommeil. Dans les profondeurs de la vallée Un coq répond au soleil. Tu es là, ta gorge gonflée Forgeant un signal Dans ton monde de cristal. Tu es là, au coeur du végétal Déployant ta magnifique âme À l’unité du ciel et de la terre Conscience merveilleuse de la beauté de l’air Offerte à l’homme et à la femme qui dorment à peine. Sous tes ailes doucement repliées Ton chant matinal A fait naître en nous une même et unique vie Comme un battement jaillissant De la nuit des Temps *** Le vent souffle aussi, encore Un vent puissamment fort Qui semble honorer ta naissance Sans toi, l’astre solaire se sentirait seul Peut-être Nos âmes se chercheraient Tes trilles enrobent les nuages Caresses intemporelles dans un ciel Éclatant de pluie féconde et de lumières Royaume des êtres en quête Et toi, bel oiseau de l’aube Tu nous accompagnes Merci d’exister Trouver le long de la voie verte, en plein soleil nous avons pris la décision de la ramener à l’abri de l’ombre, sur l’herbe grasse des berges du Jaur.
LA SEULE TORTUE DE TERRE QUI VIT A L’ÉTAT SAUVAGEEN FRANCE EST LA TORTUE D’HERMANNLe plus vieux vertébré de France est ainsi la tortue d’Hermann (Testudo hermanni).
Cette tortue de terre habite le contour méditerranéen de l’Europe, du nord de l’Espagne à la Turquie. Il s’agit d’une espèce de tortue en fort déclin sur l’ensemble de son aire de répartition. Aujourd’hui, il ne subsiste ainsi que des populations isolées en France (dans le Var et en Corse et visiblement le Haut-Languedoc à moins que notre tortue soit une tortue abandonnée ou échappée ?...), en Italie et en Espagne. Ces populations isolées sont en situation généralement critique pour différentes raisons : urbanisation et aménagement du littoral méditerranéen, incendies de forêts, ramassage illicite de spécimens, abandon des pratiques agricoles et pastorales traditionnelles. Sur la base de données morphométriques, une nouvelle nomenclature a été ainsi proposée dans les années 2000 pour l’espèce de tortue Testudo hermanni. CLASSIFICATION : Elle propose donc l’existence de trois sous-espèces : Testudo hermanni hermanni (qui inclut les tortues varoises et les tortues corses), Testudo hermanni boettgeri, et Testudo hermanni hercegovinensis Les arguments en faveur de cette position sont peu convaincants (isolement reproducteur non démontré dans les zones de contacts notamment). En effet, une étude récente portant sur l’ADN mitochondrial de la tortue d’Hermann infirme la validité de ces trois espèces. Nous retiendrons donc l’existence de deux sous-espèces de tortues d’Hermann valides: Testudo hermanni hermanni pour les populations de France, Espagne et Italie,
Elle se distingue de la Tortue grecque (non indigène en France) par les caractères suivants :
La tortue d’Hermann est une tortue rustique. Remarque : le sexe de la tortue d’Hermann ne peut être identifié que lorsque la tortue mesure environ 10cm (vers l’âge de 5-6 ans en principe). La température d’incubation des oeufs de tortue d’Hermann permet de définir le sexe des juvéniles, mais le résultat n’est pas fiable à 100%.
Des observations de tortues sauvages prouvent ainsi que ce ne sont pas des critères fiables. En effet, au sein de la sous-espèce occidentale Testudo hermanni hermanni, une étude de l’ADN de la tortue d’Hermann démontre qu’il existe des différences entre les différentes populations de tortues d’Hermann. On montre aussi des similitudes entre :
EN CAPTIVITE Il est ainsi extrêmement difficile de garantir la souche de la tortue d’Hermann, voire même la pureté de la souche. En effet, les deux sous-espèces de tortues d’Hermann et même les différentes souches peuvent s’accoupler, donner des tortues hybrides. Il est fortement conseillé de s’adresser à un établissement d’élevage de tortues d’Hermann déclaré. Cela permet ainsi de maximiser les chances d’acquérir une tortue d’Hermann de souche pure. Dans cette forêt enchantée, serein, je me promène
Une petite fée est près de moi, je rêve. Près des cascades les ions m’envahissent Dansent les libellules aux corps turquoise. Je ne vois rien d’autre que tes doux yeux Immergés dans l’infinie nature. Paix et harmonie sont au bout des doigts. Je nous montre le chemin Sans bruit, nos pas se posent sur sa poussière Rien n’est plus précis. Que ton intuition sincère, Nos âmes se sont éprises Sans concession avec les ailes de notre liberté Chaque microseconde de ma présence à la tienne. S’illumine joyeusement, étincelante religion. Je laisse, derrière moi, le faux, le paraître. Je reviens à toi, je te réalise Gardant du passé, la voie de la guérison. Le temps est venu de s’ouvrir et de s’amuser, De s’embrasser. Meichelus CASCADE LE FREJO
A la sortie d'Olargues sur la D 908 en direction de Saint Pons de Thommières le site est indiqué à gauche après 1.7 KMS Une eau venue de la montagne s'écoule en cascade le long des anfractuosités de la roche. Elle apporte une fraicheur agréable même par grande chaleur... On comprend mieux l'appellation "FREJO", froid en occitan. |
Auteurs : Anouk Journo, écrivain, traductrice, formatrice, et Michel Foucher dessinateur photographe accompagnés de Piou le chat et Pogo le chien Beagle.Un espace pour échanger nos découvertes, au fil d’un voyage itinérant en caravane, d'abord en France, et ensuite, où le vent nous mènera... Archives
Août 2021
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