Dans cette forêt enchantée, serein, je me promène
Une petite fée est près de moi, je rêve. Près des cascades les ions m’envahissent Dansent les libellules aux corps turquoise. Je ne vois rien d’autre que tes doux yeux Immergés dans l’infinie nature. Paix et harmonie sont au bout des doigts. Je nous montre le chemin Sans bruit, nos pas se posent sur sa poussière Rien n’est plus précis. Que ton intuition sincère, Nos âmes se sont éprises Sans concession avec les ailes de notre liberté Chaque microseconde de ma présence à la tienne. S’illumine joyeusement, étincelante religion. Je laisse, derrière moi, le faux, le paraître. Je reviens à toi, je te réalise Gardant du passé, la voie de la guérison. Le temps est venu de s’ouvrir et de s’amuser, De s’embrasser. Meichelus
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CASCADE LE FREJO
A la sortie d'Olargues sur la D 908 en direction de Saint Pons de Thommières le site est indiqué à gauche après 1.7 KMS Une eau venue de la montagne s'écoule en cascade le long des anfractuosités de la roche. Elle apporte une fraicheur agréable même par grande chaleur... On comprend mieux l'appellation "FREJO", froid en occitan. Au départ du hameau de Mauroul, le parcours permet de découvrir les ruelles de Mauroul, son lavoir, quatre cascades et une source d'eau ferrugineuse. Sur le parcours, on trouve des informations botaniques sur la flore locale.
Prévoir de bonnes chaussures de marche et une condition physique Normale pour ce circuit. ( Présence de marches, passerelles, montées et descentes). Au départ du parking à l'entrée du village, descendre vers la confluence des ruisseaux de la Tourré et du Fontfrège qui forment le ruisseau de Mauroul. Dans la descente, avant les premières marches, sur la droite, un belvédère permet de voir la Cascade du Roy. Pour découvrir la source ferrugineuse, traverser la passerelle, puis revenir sur ses pas. Il est conseillé de faire également un aller retour jusqu’à la « Cascade du Roy » et la superbe marmite de roche, dite « marmite du sanglier», d'une douzaine de mètres de haut et 6/7 m de diamètre. Ses parois humides sont recouvertes d'une végétation luxuriante. Revenir à la confluence et longer le ruisseau pour arriver à la cascade du Castan Rousset, haute de 10 m. A son sommet, un béal captait l'eau et alimentait les jardins des Camps Bous Bas. Franchir la passerelle du héron et monter jusqu’à la « Cascade du Gouffre du rampan». Continuer jusqu'à la passerelle « de la loutre » (béal visible également) pour rejoindre la Cascade du Dragon de I’Espinouse. Sur le sentier, deviner où se cache le dragon pétrifié, devenu le gardien du village... Poursuivre jusqu’au Lavoir de la Fontaine à l'entrée du hameau de Mauroul. Parcourir les ruelles du hameau où se cachent une bonne table (l’Auberge de Mauroul), des façades fleuries, une église restaurée, un jardin d'enfants, un boulodrome... Les gorges d’Héric Départ du village de Mons-La-Trivalle, le site est bien fléché et un parking gratuit après 17h où se garer puis continuer à pieds ensuite, le long des cascades et piscines naturelles qui descendent doucement ces gorges. Paysage luxuriant, peuplé d’oiseaux, de mouflons corses qui furent introduits à partir de 1956, année de naissance de Meichelus. Aujourd'hui cette population est la plus importante de France métropolitaine. Cet espace sauvage au coeur du Parc Naturel Régional du Haut Languedoc est également peuplé de sangliers, chevreuils, renards, lièvres, écureuils, ainsi que de truites dans les ruisseaux, sans oublier les oiseaux (plus de 247 espèces). L'amateur de rapaces pourra, s'il est patient, apercevoir un couple d'aigles royaux ou quelques vautours En continuant vers les gorges d'Héric, le chêne vert ainsi que l'arbousier se dévoile. Le caractère montagnard se renforçe, les forêts de hêtres, les genêts, les fougères ainsi que les bruyères arborescentes apparaîssent jusqu'au plateau où les résineux s’ajoutent au tableau. Les variations d’altitude et de température expliquent les rapides changements dans la végétation. Le Châtaignier, « l’arbre de vie » de cette région qui nourrissait autrefois les hommes et le bétail, fut le pilier d’une économie vivrière. Aujourd’hui, si quelques castanéiculteurs perpétuent son exploitation, l’espèce, livrée à elle-même, redevient sauvage. Lors de promenades, on peut rencontrer un sécadou. C'est un séchoir à châtaignes, en pierre et sur deux niveaux. Le principe était de faire, au premier niveau, un feu d'une épaisse fumée pendant plusieurs semaines, les châtaignes au dessus étaient alors enfumées. Ainsi déshydratées, elles pouvaient être conservées plus facilement d'une année sur l'autre.
Info pratique : Au pied des Gorges d'Heric, à Mons-la-Trivalle, il y a un parking payant le week-end de Pâques et du 15 avril au 15 septembre : 3,50€ voiture - 1,50€ moto - 6€ camping-car (stationnement autorisé pendant 3 jours consécutifs 6€/24h). Sur place, le Snack Loulette accueille les randonneurs. Il y a également dans le parking des tables de pique-nique, des toilettes, des points d'eau... ainsi que des sandwichs et boissons à Héric.
J’ai toujours rêvé de vivre au pays des enchantements
Aujourd’hui, une clef vient de nous être livrée Une clef d'accès dans un pays parfumé, de la rose figuier Au thym églantier, du cyprès d’acacias. Au laurier rose et blanc C’est en nous laissant guider jusqu’ici Tenant notre boussole trans-lunaire Près du coeur Que le chant de la bergeronnette Nous a transfigurés. Des espaces conventionnels aux prairie elfiques Nous avons évité l’herbe coupante des champs fraîchement coupés Nous nous sommes passés d’une sieste méritée, pour pouvoir suivre le cours du Jaur, nous y baigner Nous avons gardé le mystère de l’Orb Gagné en rêve dès que nous nous y sommes endormis Amenés sautillant sur la voie verte, De St Pons ou d’Olargue nous n’avons fait que danser En glissant une jambe après l’autre, nous nous sommes frayés ce chemin Depuis le gravier rose des anciennes routes de fer A travers les châteaux des gardes barrières Nous avons su sous le soleil ardent et dévisagé le ciel Sans jamais nous retourner en arrière. Depuis le chant du coucou éternel reste notre guide Dès l’or, nous prendrons le temps de réinventer Ces nouveaux rythmes secrets. Qui donnent grâce aux rencontres d’ici et de là Justes et joyeux est devenu notre espoir C’est au vestiaire que nous laissons nos craintes Maintenant pleinement heureux Elfes, fées et autres airs Peuvent nous accompagner sous ce ciel étoilé. Le nombre 11 est un nombre maître en numérologie, les numéros 11 et doubles 11 ont joué un rôle essentiel jusqu’à maintenant dans notre vie. Le 11 fait partie des nombres particuliers en ce qui concerne les connexions, en particulier pour les âmes sœurs que nous sommes. Le nombre 11 11 signifie la synchronicité collective. Ils apparaissent lorsque nous vivons une expérience qui change votre vie. Il valide souvent la synchronicité avec notre âme soeur. Il met du sens a notre connexion d’âme et éclaire sur ce qui est sur le point de se produire ou va se produire dans le futur. Pourquoi le 11 est-il aux avant-poste ?Lorsqu’apparaît le numéro 11, son dividende ou son multiple tel que 11:11 sur l’horloge ou le 22 ces temps-ci.... Si nous cherchons à nous rappeler. Parfois, les gens font un souhait avec leur apparition, parfois nous faisons cela. Cela peut venir expliquer une des raisons de la synchronicité. La « synchronicité » Ce mot utilisé par le psychothérapeute suisse Carl Jung et le cas de la femme au scarabée... Jung a vécu ce qu’il a appelé les « coïncidences significatives ». Lorsque deux signes ou plus se produisent au hasard, cela amène à chercher un sens mais pas forcément une cause. Par exemple, la synchronicité arrive quand on a rêvé d’un symbole de cœur ou autre et que le matin, nous nous retrouvons avec un cœur 💖 sous nos deux pieds. La coïncidence significative devient l’apparition du cœur dans le rêve puis ce qu’on pourrait appeler la lettre. La même chose est vraie pour les nombres, Nous pouvons, avec notre âme soeur, voir les mêmes numéros se répéter plusieurs fois. Il en est de même pour les évènements ou les rencontres que nous pouvons faire au fil de notre vie et qui déroulent, en CinémaScope sur le fil des synchronicités.... Le 11 et son sens. Le numéro 11 symbolise notre unité et s’avère être un éveil pour la conscience. il est aussi un portail vers d’autres dimensions et nous « upgrade ». Telle la porte d’accès à une forme de conscience dont nous pourrions convenir qu’elle est supérieure, meilleure. Le 11 11 Pourrait signifier lumière et obscurité Nos relations d’âme soeur sont tels des miroirs. Âmes sœurs réfléchissant ou projetant la lumière et l’obscurité. Nos relations d’âmes soeurs sont les catalyseurs de notre croissance et de notre unité. Une sorte de pont entre deux mondes Le nombre 11 11 symbolise ce pont. La réalité intérieure et extérieure. La connexion entre nos âmes sœurs et une certaine idée de polarité. Nous ne sommes pas les seuls à assister à de nombreuses synchronicités, tout le monde peut le vérifier chaque jour ou presque mais avec le nombre 11, si nous y prêtons attention, il est là et nous rappelle les énergies subtiles en jeu... Pas seulement les nôtres, celles d’Anouk et Michel. En « je »...Pensons le « je » comme l’unité et donc le 1 Nous nous sommes rencontrés et remercions l’univers chaque jours de vivre ce que nous vivons avec notre âme soeur. Notre synchronicité du 11 11 est apparue. Alors que nous étions sur le point de nous rencontrer. Cela est venu signer également que vous étions déjà dans une relation puissante.
Le numéro 11 est cet indicateur que vous nous sommes connectés d’âme à âme pour une raison. Cette raison a à voir avec la somme de travail que nous destine le plan spirituel et émotionnel. Nous sommes connectés avec l’univers et le remercions chaque jour qui passe... Nos âme sœurs, 11 11 baromètre de l’univers, réalise par moment des chorégraphies de notre union. Nous sommes conscients de nos synchronicités La plupart du temps et ce, depuis que nous nous sommes rencontrés le premier jour, dans une grande forêt, j’avais 23 ans, Anouk en avait 17. Peut-être qu’aujourd’hui plus que jamais, nous partageons cela à travers cette étonnante synchronicité et cette compréhension très particulière du « pourquoi le chiffre 11 11 apparaît... » Si nous ignorons parfois sa signification, celle-ci est suffisamment importante dans notre vie et joue un rôle. De la même manière, nous savons que les coïncidences ont un sens et que les synchronicités ont souvent lieu pour une raison. Ce n’est pas seulement les horloges qui affichent le numéro 11:11, vous pouvez voir ce nombre là où nous l’attendons le moins. Un immense merci à l’univers qui guide nos pas en ces moments particuliers et continue de prendre soin de nous. Anouk et Michel Ne pas se tromper, se laisser aller à ses ressentir
Prendre la bonne décision, faire des calculs précis, évaluer concrètement les risques Avoir plusieurs avis, ne pas se laisser influencer Si le coup de coeur est là, quels travaux réaliser tout sécuriser ? Quels moyens sont mis à notre disposition ? Pour que notre rêve devienne réalité Tissons un premier fil, maître de notre étoffe à venir. Première visite d’une maison sur les plateaux près de la grotte préhistorique de Camprafaud.22/6/2020 Est-ce le présage attendu ? Allons-nous nous sentir comme lors d’une rencontre amoureuse Dans un lien indéfectible avec le lieu ? Il n’en sera rien Trop humide, trop éloigné, trop cher, trop pas d’internet ! Nos recherches continuent On verra demain, lors de la prochaine visite prévue à 16H30 En attendant, visitons l’un des plus beaux villages de France : Olargues. Alors j’ai rêvé de tes lèvres sous les fleurs d’acaciaDécouverte de la maison de Saint Etienne d’Albagnan en passant par la voie verte
Rencontre avec deux femmes cyclistes qui arrivaient de loin La Salvetat est au coeur de la montagne du Haut Languedoc Près du lac de La Raviège Anouk a discuté avec l’adjoint au maire de Prémian Nous apprenons que notre projet est très réaliste. Pogo se prend pour un loup, l’atavisme sans doute. Il nous aura fallu trois jours pour parcourir 850 klm avec notre caravane, en partant de Vernon dans l’après-midi afin de rejoindre Prémian en début de soirée; Le troisième jour en fin d’après-midi., enfin arrivés. Le chant des cigales dans ce pays merveilleux de moyenne montagne nous accueille, nous sommes dans le Haut-Languedoc. Même le chien Pogo a cru bon de pousser son cri de canidus lupus. Quel bonheur d’être là. Notre pays recèle tant de merveilles dont ce département. Attention, il faut pas trop le dire car c’est un pays étonnant et magique. Plus étonnant qu’il n’y paraît au premier abord. Souvent les gens sont rebutés par les façades des maisons qui peuvent apparaître austères. Ces maisons qui se succèdent en rang d’oignons au bord de la route. Et puis il y a la voie verte qui traverse tout ce coin de France, véritable poumon sillonnant ce territoire pour se jeter dans la mer.
A propos de maison, nous devons en visiter une justement... Reprise de notre itinérance sous l’arc en ciel
Un chemin tout tracé, nous suivons la lumière qui traverse les nuages Il y avait un avant, nous sommes à l’instant d’après. Totalement éberlués Quand le matin, les oiseaux tissent Un invisible réseau L’eau des deux lacs est un miroir pour les feuilles des arbres. Les arbres offre un foulard à la terre
* le fil se dénoue peu à peu Oubli frileux Attiser le feu de l’œil * Narine contre narine Le baiser des ivres D’amour, ton sourire * Foulées spatiales Abyssale de toi Recommencer neuve * Dans l’étreinte des joncs J’ai senti la part du soleil Et des plumes d’histoire . La folle disparition des nuits sans étoiles. Voici la dernière toile de Meichelus.
65/50 cm sur papier arche. Réalisée avec de la mine noire, de l’encre de chine, du pastel et du stylo bille. Cette création est partit d’une immersion du coté de la synchronicité positive, illustré par un Aiku écrit par Anouk, ma chérie d’amour. Haiku que voici avant de le découvrir et sur la toile : Les couleurs parlent Du trait jaillit la beauté Jour après jour...voir. Lumière chaude du matin
Près de ton corps nu Mes caresses se sont tues Enveloppé d’un tout petit chagrin Sur mon tee-shirt safran Des nuées minuscules m’ont confondu avec la renoncule En sortant du monde, j’ai pris mon temps pendule Vécu sans renoncement. Le ciel azuré fait des traits d’hirondelles Tu m’as donné ton coeur et je t’ai trouvée La terre et le ciel ont mis en commun Une douceur très inhabituelle. Avec ces quelques mots s’envole ce tout petit chagrin Vent des rêves de mon âme près de la tienne Je te tiens par la main sur ce doux chemin Que nous pourrons emprunter demain. Les mots cristallins de l’appel du jour montent Déjà s’écrit la vie Accompagnant ma prière vive, je t’aime Ces étourneaux sont contents des couleurs vives. Déjà, rien n’est pareil....à la veille Deux abeilles ont le même langage, se parlent-elles ? Gravées dans l’intemporel immortel Elles semblent déterminées à construire leur nid pollen. Piou la chatte m’a rejoint sur le front de mers Encore un peu de temps, d’accalmie avant que la vie Trace des zigzags en spirales dans l’espace, avant que nous mettions au défi le bruit. Avant que ne se crée la poésie Une tourterelle sur le balcon est surprise par notre présence Elle se posera dans un endroit plus calme, fait pour elle Brève lumière du monde sur ton dos ondes J’ai vu les galions de notre amour Chavirant dans la lumière du monde, nous aussi Nous recherchons Cet endroit juste, déjà gravé plié au fond de nous L’inscrire là, tout près de toi, encore plus près Cette douceur qui est la tienne joue déjà ce requiem Où les chromatiques espaces, s’accordent avec le temps qui passe. J’ai vu sur ton dos des griffes de pétales apparaître J’ai caressé ton dos avec des fleurs de pissenlit Les parachutes aux trente-six graines se sont envolés Sur les ailes d’un dragon je t’ai suivie J’ai moi aussi bien cru te perdre Si cela arrivait, il m’emporterait à l’instant même Pourrons-nous finir ce voyage éternel ? Avons-nous déjà usé la toile vermeille ? la journée commence et tu dors.... Mon chien est calme, il me regarde t’écrire le mot ‘faim’ Nous nous sommes tout donné, la joie, l’amour, la tristesse Nos rêves, nos secrets, nos faiblesses Il n’y a rien à reprendre, ni écarter Un chant étrange monte des arbres Est-ce l’Ararinha Azul ? Sous le ciel bleu nous sommes attendus Le voyage continue, poétiquement pas politiquement Il n’est pas prévu de fin car les fils d’or invisibles traversent l’aile d’une libellule Nous conduisant toujours sans nous séparer, à travers les apparences Main dans la main, nos cœurs tressés Enlacés et joyeux sans plus jamais nous consumer Une fleur de nénuphar Émerge à l’extérieur d’un verre d’eau |
Auteurs : Anouk Journo, écrivain, traductrice, formatrice, et Michel Foucher dessinateur photographe accompagnés de Piou le chat et Pogo le chien Beagle.Un espace pour échanger nos découvertes, au fil d’un voyage itinérant en caravane, d'abord en France, et ensuite, où le vent nous mènera... Archives
Août 2021
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